Le clinicien s’envoie ensuite par courriel l’image en basse résolution. Quand il la reçoit, il l’ouvre, fait une saisie d’écran, copie la photo et la colle dans le dossier électronique. « Cela prend dix secondes. C’est moins long que de tout noter. En plus, cela permet le suivi du patient au fil du temps et par différents intervenants », explique le Dr Hébert.
Après l’opération, il faut cependant effacer l’image initiale. « On ne laisse rien ni sur le téléphone ni sur l’ordinateur. On ne doit par ailleurs pas prendre une photo sur laquelle on peut reconnaître une personne », rappelle le médecin. //